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Cette photo est assez difficile à bien réussir pour une raison complètement indépendante du photographe :
- rien ne bouge - pas de problème de profondeur de champ : le bas releif est profond de quelques dizaines de cm et on ne peut s'approcher à mois de 2 mètres - on peut donc utiliser une grande sensibilité pour pouvoir choisir une vitesse moyenne et un diaphargme moyen. Donc : pas de problème ! |
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Le principal ecueil de cette image, c'est l'éclairage d'une pierre très grise et sans relief particulier malgré un grain délicat, sauf à jouer sur la lumière.
Mais, ce problème ne se résoud pas avec un appareil photo et un flash incorporé. Ce flash procure une lumière bien trop brute qui créerait des ombres très désagréables sur le fond. Sauf à maitriser les effets de neutralisation de la brutalité des éclairages, etc. En revanche : pour une photo de la totalité de la Cène, il convient de disposer l'appareil au mieux possible pour limiter les déformations dues à l'optique : - appareil bien horizontal - appareil bien perpendicualire au plan à photographier - appareil le plus bas possible, sachant que la rambarde limite cette position. |
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Pour obtenir une bonne image de ce monument, il faut de l'éclairage de studio élaboré.
On peut s'en sortir avec une retouche de l'histogramme en post-production, sans pour autant avoir un résultat aussi pointu. Ici, les deux images ne fiffèrent que par l'angle de champ : soit par éloignement, soit par modification de la focale du zoom. C'est un choix de photographe : propose-t-il plutôt une image que l'autre ? C'est de sa responsabilité, les deux images étant tout à fait acceptables, sauf à pinailler des détails sans pour autant apporter de positif ni à l'une ni à l'autre. Peut-être que celle qui présente le Christ plutôt décalé en limitant son regard est plus prenante. Mais, c'est du subjectif et cela n'a plus rien à voir avec la qualité générale de l'image. |
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