Fixer les éléments entre eux pour que les conditions techniques de position dans l'espace soient respectées et constantes.

          Faire le noir pour que, pendant le traget de l'objectif au support sensible, la lumière ne soit pas perturbée.

          Le premier rôle du boitier est le plus complexe : pour loger tous les éléments dans l'appareil et que tout le monde ait sa place, il y a du sport ...

          On demade donc à un boitier :

               - Solidité :
- Il doit pouvoir supporter quelques coups. Mais,dans tous les cas, attention : fragile.
- Il est en matériaux de plus en plus sophistiqué au fur et à mesure qu'on monte en gamme.
- Malgré son poids, il doit être léger. D'où des boitiés en matériaux très cher.

               - Rigidité :
- les éléments ont besoin de positions frixes pour bien assurer leurs services, notamment l'objectif et le support sensible. Le calge est nettement inférieur au mm.

               - Protection :
- contre les pénétrations de poussières, ennemi n° 1 des appareils numériques
- contre les pénétration d'eau : l'appareil étant capable de faire des images avec de moins en moins de lumière, il doit être capable de faire des photos sous la pluie.

               - Ergonomie :
- Le photographe recherche les commandes sous ses doigts en cours de prise de vue.

               - Esthétique :
- Etre ... beau : pourquoi pas ? Même si ce n'est pas le critère premier.
- Etre «convenable» : l'esthétique des appareils actuels est issue des appareils argentiques, avec des condition de manipulation de la pellicule. Sans pellicule, les appareils peuvent changer de look.

          Si on a réalisé un boitier
- rigide,
- étanche à la poussière,
- étanche à l'eau,

          il ne manque plus beaucoup pour qu'il soit étanche à la lumière.

          La chambre noire est donc ipso-facto fabriquée.