Logo.

Vous êtes ici : Groupe Photo Malraux > Traitement d'image > Le taj Mahal > Proposition de Michel >

Le Taj Mahal


Etat des lieux

Analyse de l'image

          - L'image est trop claire
          - L'image est nette
          - Déformations de perspective

Raison

          Réglage de l'appareil dépassé (1)

          Visée vers le haut

Solutions

          Reprendre l'histogramme de l'image

          Reprendre la perspective

Les conditions maitrisables par le photographe

L'image est trop claire

          Cette image est évidemment surexposée :
- les blancs sont laiteux ;
- le ciel est presque blanc ;
- tous les détails sont écrasés ;
- les verts sont passés.

                       Pourquoi ?
          L'appareil était pourtant bien réglé sur priorité à l'ouverture . Il aurait donc dû se débrouiller tout seul !
          Oui. Mais, il y a des limites, notamment la plage d'ouverture réduite.
          Le fichier exif dit : vitesse 1/4000°, ouverture f/5.6, 1600 ISO
          Ce qui signifie qu'on a oublié de choisir la bonne sensibilité. Ici, 200 ISO aurait certainement été suffisant. On aurais alors pu trouver un compromis avantageux pour le temps de pose et aller vers une profondeur de champ maitrisée.
          Un réglage ISO = 200 ; vitesse = 1/125°; ouverture = f/16 aurait certainement donné un meilleur résultat.

Alt

L'image est nette

          En forçant l'agrandissement jusqu'à 100%, on obtient l'image ci-contre.
          Trois remarques :
- l'autofocus a fonctionné correctement : le tracé des dessins est acceptable, compte tenu de la distance.
- le photographe n'a pas bougé : heureusement ! A 1/4000° de seconde ...
- même le premier plan est net : c'est l'avantage du grand-angle (ici f = 28 mm).

          Dans les courtes focales, la netteté est très facilement acceptable entre l'infini et 1 mètre. Donc, ici, pas de problème. Mais, les conditions optimum de réglage n'ont pas été travaillées.

          Note : travailler l'histogramme redonnera automatiquement de la netteté apparente par un contraste plus poussé.
Alt

La visée

          Le choix ici est sans conteste la solution la plus usité : image symétrique centrée.

          Horizontalité : viser sans pied et sans moyen de contrôle de l'horizon parfaitement à main levée n'est pas facile. Le petit défaut à la prise de vue est tout à fait acceptable. A condition de rectifier en post-traitement.
          Ici, c'est facile : la ligne droite horizontale du grand balcon est utilisable.

          Centrage : l'axe de symétrie du monument n'est pas loin de l'axe de l'image. Mais, l'écart est très sensiblement indiqué par les premiers arbres. A droite, il y a un sapin de trop.
          Là aussi, c'est récupérable car il y a «assez d'air» autour du monument sur toute l'image.

          Mais ...


Alt

Axe de visée

          Déjà vu plus haut : la focale est aux grands angles.

          Avec comme corollaire : plus l'angle d'ouverture est grand, plus on a de déformations géométriques.
          Et, ici, les minarets tombent vers l'intérieur de l'image !

          Comment éviter ?
          Plus l'angle d'ouverture est grand, plus l'axe de visée doit être horizontal ! (Même si la prise de vue est en grand axe vertical !!)

          Sur cette image, on aurait pu limiter le ciel inutile au-dessus du mausolée en ne relevant pas l'appareil.

          Note : une prise de vue trop dissimétrique compromet les facilités de reprise de la perspective.

Alt

Eléments incontrôlables par le photographe

Décors inopportuns

          C'est là. Point ! Il faut faire avec à la prise de vue.

          Mais : si possible, à la prise de vue, il faut essayer de limiter les dégats. Le photographe peut se déplacer. Il peut troouver un élément pour cacher, etc. Toutes sortes de moyens sont utilisables et excusables.
          Mais, ici, les moyens de correction sont inexistants. Il ne reste que la solution du post-traitement :
- le tuyau d'arrosage est à bannir
- des éléments comme les spots lumineux sont à éviter.

          Au moment du post-traitement, on peut naturellement choisir le degré de correction qu'on souhaite apporter à l'image en fonction de ce qu'on veut faire. Mais, ici, la notoriété du monument exige un minimum de travail.

Alt

La plaie des sites touristiques ... : les touristes.

          Seulement deux solutions :
- on les intègre dans l'image
- on les élimine au post-traitement.

          L'idée étant que ces gens là sont incontournables. Il devient donc urgent de surveiller ceux qui vont servir l'image et ceux qui vont la perturber.
          Maintenant, ce n'es tplus une histoire de respect de lois quelconques, c'est une histoire de sensibilité du photographe.
          Par exemple, je trouve le sari rouge gênant pour la lecture dans l'image ci-contre.
          En revanche, à l'échelle de l'image, il devient peut-être assez négligeable pour ne pas l'enlever.
          Quant à l'homme derrière le sapin de droite : il va disparaître naturellement au recadrage.
Alt

Le post-traitement

1 - Faire une image propre

          Remarque : comme je l'ai dit déjà plusieurs fois, si l'appareil photographique n'intervient qu'en ultime position lors de la préparation d'une prise de vue, ici le logiciel de traitement est complètement inutile lors de la lecture et de la critique de l'image.

          Seulement maintenant, que je sais ce que je veux faire sur mon image, je vais mettre en route mon Toshop préféré.

Réglage de l'exposition

Alt

          Histogramme du cliché : la disposition complètement à droite confirme la surexposition : il y a nettement plus de pixels très éclairés que de pixels sombres.
          A gauche, la zone sans pixels est très réduite.
          A droitr, la zone est complètement saturée.

          Premier objectif : enlever la zone inutile à gauche.

          Deuxième objectif : diminuer la zone top importante à droite.

          But ultime : trouver le meilleur compromis.

          Mais, on a un risque : si on force trop à enlever du blanc, on va effacer des détails dans les blanc. (Ce qui est déjà fait à la prise de vue sur la droite de la coupole !).

          Il n'y a ni miracle ni dogme : c'est en manipulant les curseurs qu'on trouve le meilleur compromis.
          Attention de ne pas forcer trop sur les noirs en faisant des gros pâtés sans détail
          Attention de ne pas brûler les zone blanches en faisant éliminant ici aussi les détails.
          Il faut agir en toute sensibilité.
Alt

Plusieurs méthodes

          Le calage de l'exposition est le post-traitement prioritaire sur tous les clichés.
          L'histogramme peut se régler de différentes façons :
- suivant les logiciels
- suivant les habitudes du laborantin
- suivant les caractéristiques de l'image.
          La principale règle à ne jamais transgresser est la suivante :
- retrouver à l'écran l'image la plus respectueuse du souvenir que l'on a de l'instant de la prise de vue.

          Peut-être est-il possible, ensuite, d'apporter une touche de création , toujours possible avec les moyens informatiques. Mais, il ne faut pas se tromper de porte :
- d'abord on fait une photo la plus vraie possible.
- ensuite, si affinité, on fait ce qu'on appelle quelques fois une création. Mais, ne mélangerons pas les deux mondes !
Particularité de cette image
          Cette image montre un paysage coupé en deux :
- la partie jardins avec une exposition pratiquement idéale : l'histogramme est bien équilibré
- la partie monument et le ciel, notoirement surexposé
          Donc, pour le travail sur l'exposition, l'idéal est de couper l'image en deux :
- sélectionner la partie jardins et effectuer les réglages ;
- inverser la sélection et effectuer les réglages sur la partie monument : l'histogramme est complètement à droite (ce qui entache l'histogramme global de l'image).

Partie basse de l'image. Partie haute de l'image.

Une image droite !

          Une des premières conditions d'une belle image : elle doit être droite
          Pas nécessairement ne pas pencher. Mais, pour que le lecteur puisse lire une image, il a besoin de repères de base. Le premier de ces repères est la stabilité de l'image.
          Cette stabilité est donnée par un élément qui, naturellement, est bien calé. Et, naturellement, cet élément doit se retrouver sur l'image.

          Ici, l'élément horizontal de référence est le balcon de l'esplanade du mausolée.
          A la prise de vue, il y a une légère inclinaison, à peine perceptible. Tout logiciel rectifie cette anomalie en un tournemain. Sur un sujet qui présente une telle stabilité, il est indispensable de montrer cette stabilité légendaire.
          La ligne verticale le plus dans l'axe de l'image est bien verticale, élément indispensable pour aller plus loin dans le travail de recadrage global de l'image.

          Attention : la plupart du temps, il est difficile d'avoir des repère horizontaux fiables. Aussi, est-il plus habile d'appuyer ses images sur des verticales bien verticales. Voir la page correspondante sur le site de Michel
Alt

Reprise des perspectives

          Si l'aplomb de l'appareil photo au moment de la prise de vue n'était pas rigoureusement parfait, cela ne se sentait pas trop, même si c'est très visible dans Toshop, surtout si on utilise les repères horizontaux.
          En revanche, il est très clair que les minarets de droite et de gauche ont une forte tendance à pencher vers le centre de l'image.

          Ce phénomène est un défaut récurent sur TOUS les objectifs photographiques. Et, d'autant plus que la focale utilisée est courte. Ici, on est à 28 mm, donc au grand angle.

          La correction de la perspective est plus ou moins facile suivant les logiciels.
          Photoshop Elément se débrouille très bien : sélectionner toute l'image ( Ctrl + A) et utiliser les menus Image - Transformation - Perspective.
          (Attention, tous les logiciels n'utilisent pas la même ligne de menus).

          Arrivé à ce stade, il y a deux solutions :
- soit rétrécir le bas de l'image
- soit élargir le haut de l'image.
          ... pour un résultats fondamentalement différent !!!
Alt

Elargir le bord le plus étroit
- le monument est élargi par le haut
- il apparait plus trapu

          Cette solution tasse l'image et le sujet perd de la vérité de reproduction. Elle a tendance à placer le point de prise de vue plus en décalge qu'il ne l'est en réalité.
Rétrécir le bord le plus large
- le monument est rétréci par le bas :
- il apparaît plus élancé.

          Cette solution est plus proche de la vérité. Elle a tendance à replacer le point de prise de vue plus à mi-hauteur de l'édifice et à lui redonner sa hauteur effective.

Alt Alt

Recadrage de l'image

          A ce stade, l'image est dans sa présentation quasi définitive.
          Il convient donc de lui donner la présentation qu'on souhaite.

          Cette présentation dépend du média proposé au lecteur.
          Si l'image est montrée sur un écran, faisons correspondre le format de l'image au format de l'écran. Notamment ici, les formats grand axe vertical sont prohibés.
          Si l'image est montrée sur un support papier, on a toutes latitudes pour jouer du format le plus opportun, en fonction de la prise de vue.


          Notes :
- je n'ai jamais vu ce monument. Je ne sais donc pas si la couleur du marbre propose une solution réaliste.
- je n'ai pas parlé des zones grillées par trop de lumière : toutes les surfaces trop exposées au soleil. Une prise de vue en RAW aurait permis une meilleure reprise de l'exposition.

          Et maintenant : on peut passer à l'embellissement du cliché.
Alt

Limite de la reprise de l'histogramme

          Ici, le travail sur l'histogramme a bien corrigé la lumière dans l'image.
          Mais, comme déjà noté plus haut, la coupole reste sans détails sur la droite.

          Il n'y a plus rien à faire : les zones trop éclairées sont grillées.

          Pourquoi ?
          Parce que la sensibilité de l'appareil n'a pas été réglée pour cette image !

          1600 ISO, c'est pour les images par temps très sombre, en intérieur, etc.


          Remarque générale : plus la sensibilité est faible, plus les détails ont le temps de s'imprimer.
          A contrario : plus la sensibilité est élevée, plus l'image est dure , c'est à dire sans détails là où il y a trop de lumière.

Alt

Embellir l'image

          A ce stade, le cliché est devenu une photographie d'un aloi compatible avec la qualité de la prise de vue.
          Maintenant, voyons si on peut faire mieux.

Nettoyer les éléments parasites.

          Quelque soient les précautions qu'on peut prendre, il existe toujours des éléments perturbateurs sur lesquels on n'a aucune maîtrise.

          Il n'y a plus qu'à :
- les repérer au moment de la prise de vue pour choisir un angle de vue qui soit les cache, soit permettra une correction facile en post-traitement.
- les éliminer en post-traitement

          Les logiciels de traitement permettent tous cette opération, en plusieurs procédure, généralement. Mais, certains sont plus aisés que d'autre. Photoshop CC permet cette opération très facilement.

          Sur l'image du Taj MAhal , il est évident qu'il faut se débarrasser du tuyau d'arosage et de la tondeuse à gazon.
Alt

Nettoyer les éléments fâcheux

          Une photo est bien souvent gâchée par la machine à laver qui rouille au fond du jardin .

          Mais, il existe une autre pollution : les panneaux de signalisations divers et variés et toutes ces sortes de choses incontournables.
          Ici, par exemple, les panneaux indicateurs dans les parterres.

          Rien n'empêche le logiciel de traiter ces objets disgracieux.
Alt

Traiter les touristes

          La plaie des photos de voyage !
          Et, d'autant plus difficile à traite que ... nous sommes aussi touristes !

          Ici, plusieurs philosophie :
- on les laisse apparaître, puisqu'ils font naturellement partie du paysage de monuments tel le Taj Mahal
- on les supprime tous : pas toujours facile, sauf à faire les photos avant l'invasion.
- solution médiane :
          - on surveille à la prise de vue qu'il n'y ait pas trop de perturbation;
          - en post-traitement, on élimine le plus gênant.

          Ici, par exemple, le sari rouge fait un point trop visible et accroche l'oeil. Il est souhaitable de l'enlever.
          Mais tout enlever rend l'image stérile...
Alt

Présentation finale

Choix du format, donc du cadrage

          ... Ou choix du cadrage, donc du format

          Maintenant que l'image est présentable, il convient d'adapter sa présentation au support.
          Si, lors de la prise de vue, l'appareil n'en fait qu'à sa tête, au moment final, le photographe a le choix des armes.

          Pour une présentation sur un écran, la tendance étant au 16/9, l'idéal est d'utiliser toute la surface de l'écran de la télévision.
          Mais, pour une présentation papier, il est aussi facile de décider du format que de découper la feuille sur laquelle l'image est imprimée.

          Il suffit de ne pas se laisser embrigader dans un format quelconque pour la seule raison que c'est comme ça !

          Ci-contre, une présentation 15/9, qui est très proche du format conforme aux règles du Nombre d'or.
Format .

Ci-dessous : proposition d'autres formats
          Présentation compatible avec le format d'un écran de télévision HD, 16/9°
          Présentation conforme à la photo classique obtenue en faisant réaliser ses tirages, comme à l'époque de l'argentique, en 15x10 cm

Format écran 16/9. Format 10x15 : photo classique.

Aller plus loin

          Maintenant qu'on a une image acceptable,
- soit on en reste à la photographie classique
- soit on recherche des effets de couleurs, de montage, etc. Mais, c'est de la création. C'est alors un autre chapitre.

Conclusions techniques

          1 : Travail de post-traitement :
Cette page montre bien que le travail de post-traitement est dirctement la conséquence de la qualité de la prise de vue.

          2 : De la préparation de l'appareil photo :
Comme il a déjà été dit souvent, prendre une photo, ce n'est pas appuyer sur un bouton et attendre que cela se passe.
L'appareil doit être réglé avant la prise de vue pour pouvoir répondre aux conditions de l'instant :
- quelle sensibilité : comment j'utilise la lumière ;
- quel mode de programme : ici, mode priorité à l'ouverture, ce qui ne dispense en aucun cas, justement, de décider quelle ouverture sera la meilleure pour, ici , obtenir la meilleure profondeur de champ.

          3 De la préparation de la visée :
On retrouve sur l'image des éléments perturbateurs, dont malheureusement, on ne peut rien maîtriser. Donc, comment je traite ces problèmes AVANT le déclenchement.
Quelque fois, un simple pas à droite ou à gauche suffit pour gérer un obstacle.

          4 Du choix de type de fichiers :
On a peur du fichier RAW. Pourtant, sur des photo uniques pour moi, comme celle-ci, il faut que j'utilise mon matériel au mieux de ses possibilités.

          5 De la lecture du cliché :
Proposer une image à la lecture, c'est très bien. Tant mieux et merci. Mais, il faut avoir l'oeil pour ne pas proposer la machine à laver qui rouille dans le jardin et savoir repérer tous les éléments qui seront ou non des atouts pour le lecteur.

Le contexte de cette image du Taj Mahal

          Pour préparer cette page, je suis alle voir sur Internet.
          J'ai tout simplement tapé Taj Mahal sur mon moteur de recherche préféré.

          Il m'a sorti brutalement 21 pages comportant chacune 30 images.
          Soit : 630 images diverses et variées.


Ci-dessous, deux copies d'écran de ma recherche, au hasard de Google.
          Ceci montre bien que si je veux présenter MA photo du Taj Mahal , il ne me suffit pas d'appuyer sur le bouton de mon téléphone portable ou de mon réflex préféré.
          Je me dois donc de rechercher à embellir mon travail de prise de vue, de telle sorte que ceux qui verront ma photo se sentent embarqué jusqu'aux Indes et sentent tous les aromes du pays.

          Là, et là seulement, j'aurai fait UNE PHOTO

          Néanmoins : la seule personne à pouvoir décider de la solution définitive est celui qui a pris la photo :
est-ce que la photo rend fidèlement compte de ce que j'ai voulu photographier ?

          Après avoir obtenu cette photo unique, et alors seulement , je peux partir dans un domaine autre que la photographie : la création . Mais, c'est une autre histoire ...


Alt Alt

Conclusions

          Je remercie Micheline d'avoir accepté de passer son Taj Mahal à la moulinette.
          Je remercie tous ceux qui vont participer à ce petit jeu d'imaginer que toutes les critiques ou remarques qui sont proposées nous concernent tous.

          Nous adhérons à un groupe qui souhaite faire de la photographie , donc de produire des travaux au-dessus de la moyenne. De ceci découle un théorème très simple : je dois me remettre en cause chaque fois que je veux montrer mon travail à des tiers.

          Si les professionnels qui visitent le Taj Mahal tous les jours pendant plusieurs années pour sortir la photo du siècle de ce monument, nous, simples touristes qui ne verrons ce chef-d'oeuvre qu'une seule fois dans notre vie, nous ne pouvons pas imaginer faire mieux que les pros.
          L'erreur nous est interdite ! On ne dispose que quelques minutes pour sortir une vraie image.
          Ce n'est pas une raison pour se laisser aller. Et c'est un devoir de sortir, sinon des chefs d'oeuvres à tous les coups, pour le moins des images qui retiennent l'attention.


                    Une photo :
               - commence AVANT la prise de vue (quelques secondes à quelques heures... voire quelques années) : régler son appareil, décider de la visée
               - se concrétise à la prise de vue (quelques fractions de secondes) : déclencher
               - se peaufine dans le secret du laboratoire, devant son écran ( de quelques minutes à plusieurs heures) : optimiser la prise de vue, embellir l'image, décider de la présentation.

Pour le fun : un avant-après

          La solution après est ici celle de Michel. Elle n'est en aucun cas LA SEULE solution.
          Maintenant, c'est à l'auteur de la prise de vue que revient le droit de décider de la solution définitive en fonction de son ressenti, de la ressemblance de l'image avec ce qu'il voulait y mettre, etc.

Alt Alt
Alt




 
Ecrit et composé avec GenPh© -CopyrightDepot.com 00035368- V 2.010-5601-MMag du 26/12/2006

  Dernière modification : 25/11/2014